Auteur/autrice : admin6619

Nous nous retrouvâmes 9 équipages sur le parking du Leclerc de Firminy par un beau matin du mois de mai.

Tout le monde était à l’heure même notre Georges V. qui arriva en avance : le mois de mai lui donne des ailes.

Un seul équipage inscrit manquait à l’appel : pour quelle raison nous ne saurons pas. Tant pis pour les absents.

Après un moment d’attente nous décidons de partir en direction de La Louvesc où nous attendait un petit déjeuner bien apprécié. Même Monique préféra rester avec nous plutôt que d’aller faire un petit coucou au bon Dieu de la basilique.

Après que les affamés se soient rassasiés et que les bavards se soient tus, nous décidons de quitter les lieux en direction de Lamastre, le Cheylard et enfin le Moulinon.

Malgré des notes ultra précises, faites par mes soins (dixit Jean-Claude), indiquant avec précision la route à prendre dans le Moulinon « à ne pas manquer » : quelques spécialistes dont nous tairons par respect les noms se permirent de louper la route.

Quand on est surnommé godasse de plomb ce n’est pas étonnant : on fonce…

 La chose rentrait vite dans la normale et chacun à son rythme (souvent rapide) profita des petites routes sinueuses des 37km de la spéciale Moulinon/Antraigues de feu le Monté Carlo des années 80-90.

J’ai ouï-dire que certains avaient fait chauffer un peu trop leurs pneus de leur Opel Manta et de leur Porche. Il faut reconnaitre que lorsqu’une Manta ouvre la route… Les vieux réflexes quand ils nous tiennent !!!!!!

Chacun rejoignit la place du village d’Antraigues sur Volane pour le repas du midi.

Après un bon repas, au restaurant La Montagne, toujours bien animé par les conversations ou anecdotes de chacun, nous réprimes nos voitures pour le retour en direction de Lachamp-Raphaël pour effectuer une autre partie de spéciale jusqu’à Saint Martial.

Là aussi les gros cœurs et les godasses de plomb s’occupèrent de faire chauffer les pneus et les plaquettes de frein.

C’est sans encombre que la petite troupe rentra sur Firminy en passant par Tence et Montfaucon ou un dernier verre de l’amitié fut pris avec photo oblige.

Seul 2 équipages manquent sur la photo : notre George V. qui passa sur la route en nous faisant un petit coucou (pressé de rentrer) mais qu’on recroisa quelques minutes plus tard (à l’occasion d’un arrêt au stand) et Philippe B. et son épouse qui après avoir trop sollicité leur monture durent aller faire le plein assez loin pour pouvoir rentrer. Comme nous sommes de bons camarades nous les avons attendus avant de nous quitter. Mais la photo était déjà prise.

A la prochaine fois. (Merci aux 2 organisateurs B & B) 

   C’est à 9 heures précises le 13 avril 2025, que le bataillon de la 7ème s’est mis en marche de la base nautique de St Just. Le temps était au gris, mais pas de pluie. Chaudard et Pithiviers étaient présents au poste, mais malheureusement Tassin, lui qui avait beaucoup participé à la préparation,  s’était fait porter pale.  Heureusement, Christophe et Philippe de la légion étrangère ont répondu présent pour donner un coup de main.

    Dès le départ un problème mécanique se présenta avec un écrou récalcitrant à dévisser pour la réparation d’un char, 4 équipages assurèrent la mission et la colonne continua son mouvement en direction des neufs ponts où le fil rouge sur le bouton vert et le fil vert sur le bouton bleu furent mis à exécution, et comme disait Pithiviers « si je connaissais le con qui a fait sauter le pont »….. et bien ils furent plusieurs. La bataille à venir restant âpre et rude, les 54 bidasses en folie prirent des forces avec un casse croûte matinal devant la cantine à Christophe et c’est l’estomac plein qu’ils se dirigèrent vers Jonzieux en passant par la forêt de Machecoul.

  L’ennemi présent partout, obligea les soldats à utiliser leurs armes, en l’occurrence des fléchettes. Beaucoup de blessés mais peu de morts dans les rangs ennemis. On a même frôlé la catastrophe avec certains qui, maladroitement, auraient pu toucher leurs camarades.

Ce dernier assaut avait mis en appétit les gars de la 7^ème, pas pour une nouvelle bataille, mais pour un repas consistant, direction la Ravarine, à la république (tout un symbole). Avant de passer à table, on confirma l’adresse au tir en passant à du plus lourd avec des boules de pétanque avec lesquelles certains se montrèrent plus adroits qu’aux fléchettes. L’ennemi se retirant, on put passer à table.

   Au sortir du restaurant, la pluie nous attendait. Le lancer de marteau et de la clef à molette se réalisa rapidement,  parapluie à la main. C’est le ventre plein, même bien plein pour certains, que les 27 véhicules se dirigèrent vers Lichemialle où la cuisson des carottes posa quelques problèmes.

   La destination finale de la colonne, initialement prévue au château d’Essalois, fut détournée, cause de pluie, à Chambles. Où pour assurer le casse croûte du soir, il fallait attraper un lapin. Mais vu l’adresse d’une majorité des participants, les armes à feu furent remplacées  par une canne à pêche.

  En conclusion une super journée durant laquelle la bonne humeur a été de rigueur et qui a vu quatre équipages intégrer la 7ème suite à leurs performances du jour. Ils ont été récompensés par Le chef Chaudard qui ne leur a pas remis une médaille mais un petit trophée souvenir. Sont donc promus au grade de sergent, les équipages conduits par Sébastien Forestier, Lucas Emmanuel, Stéphane Poinard, avec une mention spéciale à l’équipage Hugues Couble composé de jeunes recrues.

L’année prochaine, peut être, « Où est passé la 7ème compagnie »

En ce 1^er mai Jean Claude nous a emmené sur les routes du Pilat et de l’Ardèche pour une ballade d’environ 170km.

Après un rdv à Géant Casino de la Ricamarie, nous partîmes en direction du Col de la République par Rochetaillée pour rejoindre St-Sauveur en Rue pour un premier arrêt collation

Le trajet s’est poursuit en direction du Monestier, puis par Villevocance, St-Félicien, La Mastre, La Louvesc pour se finir sur le secteur de St-Bonnet-Le-Froid – St-André en Vivarais pour le repas de midi.

Merci Jean-Claude pour ce beau parcours